Ca y ai tu est passez de l'otre cotai de la barière: welcome dans le club des quadras.
Yoyo je l'é connu a un salon alimentaire: le S.I.A.L, il tenez un stand dans lquel il ventait les binfés du Gibolin. Et oui un jour a Berque un jour à Bétune ou à Yvetot, toujour en gala,gala,gala,gala. c'est sa vie à ce gars là.
Notre chère yoyo venté donc le biefé dudit Gibolin avec une ferveure et un antousiasme extraordinère.
par contre, tout a fée,j'avou que je nez jamai gouté à son brevage il n'a jamais voulu m'en donner.
depuis presque deux décénie, nous nous voyon règulairemant te rapelle tu de cette rencontre inopiné: le champs de bataille pendant l'armée ( enfin le champs de bataille, c'es un bien gran mot : nous étions au bar! moi débordé en temps que chauffeur et yoyo en imfirmié).
par contre,toujours est til que nouis somme fière de faire party de ton cercle d'amis.
tel les gaz d'une obèse ayant consommé des haricots rouge ta décénnie trenteneire s'est échapée.
encore merci pour cette soirée du 17 janvier 2010
tata edith je croix que au nivot ortogrf jé fé des prograi.
PS: ce texte est une partie romancé de la vie de Yoyo, toute ressemblance d'avec je sais pas quoi, serait fortruite.
FREDERIC